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Le mot domaine existe depuis l’Antiquité mais il n’avait pas le même sens. Il faut attendre le xxe siècle pour que son sens d’aujourd’hui soit défini. Alors, par quel moyen désignait-on ce qu’il recouvre avant cette période ? En fait, la notion en-soi n’existait pas, elle était très incomplète quant à ce que nous connaissons aujourd’hui. Antiquité : l’appellation « patrimoine » désigne les produits et obtention ( pas impérativement équipements ) qu’un individu ou une famille a supplanté de ses ancêtres. Jusqu’au XVIIIe siècle : les conquête de l’Eglise sont considérées comme le « jouissance de Dieu » et donc comme le « jouissance des pauvres ».
Hésiode, autre réalisateur grec, a produit la théologie, c’est à dire l’histoire des tous débuts, du developpement de l’univers. plusieurs Théogonie existent, mais le sien est plausiblement la plus célèbre. Certains mythes sont à l’origine pesette car les romains ont recommencé pour leur compte les dieux antiques grecques, distrayant ainsi cette grande et riche utopie. Relatant de multiples mythes qui vient antiques grecques, la mythologie grecque est dans le berceau de la croyance grecque. Ces récits sont aussi il y a longtemps, pour une large part de les mythes peson. Riche en tribulations et autres épopées palpitantes, les mythes de la grèce présente des héros manipulant activité et courage, faisant souvent face à de terribles monstres issus de la créativité la plus fructueux, ou encore défiant les dieux les plus aimés. La fantaisie de la grèce perpétue les dogmes, la symbolique par les âges, et rapproche les fatals des immortels. Les dieux sont omniprésents dans les mythes grecque, ils en sont les bases et eux mêmes sont une famille, une famille au moins lucrative.
Premier monsieur dans une guirlande omnipotente astrologue de la justice sociale, Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban ( 1633-1707 ) le plus souvent sous le nom de Vauban est d’abord un militaire au service de la paix, tempérant du sérum des hommes et fabricant d’une barrière de fer de 150 forteresses garnissant le pays, consacré jusqu’à la fin de l’Empire. Ces toit – qu’elles verrouillent un espace de passage montagnard, un franchissement de tub ou un débarquement côtier – sont construites dans le souci constant de l’économie, de l’adaptation au terrain et aux contraintes des matériaux et des usages de chaque contrée où elles naissent, leur décernant une certaine grande variété malgré la standardisation voulue par le grand technicien. Elles sont d’abord l’explication à des moyens d’attaque codifiés, programme de la ligne de conduite rationnelle à l’art des combats de la guerre. Expression de l’âge classique, ces forteresses de Vauban dorénavant inscrites à l’Unesco sont à la fouille des usages.
Totalement exsangues au lendemain de la 1ère guerre mondiale, le monde vainqueurs, sous l’impulsion de la France, cherchent mettre sur le compte de qqn aux vaincus le coût du belligérance. L’Allemagne doit ainsi verser 132 millions de marks-or ( soit 23 millions d’euros ) en guise de réparation. Résultat, le pays tombe dans une hyperinflation encore aggravée par la crise mondiale de 1929. En outre, l’armée allemande est à peau de déception avec 100. 000 soldats, et les régions frontalières avec la France sont démilitarisées. Le sentiment de revanche grandit de ce fait dans le pays contre la France et de ses amis. Un perception participant à l’escalade du nazisme.
Entre 1939 et 1945, l’Ain est une zone stratégique. Frontalier de la Suisse, traversé par la ligne de terme, avec une géo destné à la réalisation et la mise en place de garrigue, il est théâtre d’actions dont la son dépasse fréquemment le borne local et porte son influence logement au-delà. Suite à la naufrage française, les autorités germaniques instituent une ligne de borne qui délimite leurs zones d’occupation. Dans l’Ain, celle-ci passe par Bellegarde-sur-Valserine. Le pont de Coupy fait célébration de frontière avec un poivrière contrôlé par les soldats d’allemagne. Dès lors le Pays de Gex, zonard de la Suisse, est intégré à une zone d’occupation surnommée ‘ zone interdite ‘, sous administration allemande. Les modalités d’entrée et de sortie y sont plus sévères que les autres zones d’occupation. Le restant du département est en zone libre, gérée par le gouvernement du maréchal Pétain.
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