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Parmi le vaste univers horloger, chacun se fait une vision différente des modèles et des pièces qui le jalonnent. Cependant, il existe des constantes, et certaines pièces sont rapidement associées à une image, à un porteur. Quand on imagine à une Casio G-Shock, on l’associe plus rapidement à un jeune skateur qui rentre des pop shove-it sur des spots Place de la République à Paris qu’à un trader de contrat futures sur le marché à terme londonien LIFFE. Il en va de même pour une Reverso, plutôt associée à un père/une mère de famille habitant rue de la Paroisse à Versailles qui a bien réussi sa vie et qui se fait le bonheur de la trentaine. En somme d’un côté une montre sportive, et de l’autre une montre classique que l’on associe avec les quelques images culturelles que l’on a en mémoire, c’est rapide et ça marche toujours. Quel dommage cependant de poursuivre à se mettre en tête qu’une montre ou une autre se cantonne à un look. Le monde de l’horlogerie est plein de ces préjugés ( qui proviennent souvent d’une part de vérité, certes ) qui se déconstruisent aujourd’hui pour laisser place à plus de créativité et d’audace. On trouve aujourd’hui de nombreux contre-exemples et le véritable intérêt est de passer outre ces codes. Et de ne même pas y songer.
Quand nous parlons des montres, nous évoquons souvent des histoires personnelles ou les particularités techniques qui les rendent intéressantes aux yeux de certains acheteurs. Mais dans l’ombre, la marque fait une étude beaucoup plus titanesque que ce que pouvez imaginer. Dans l’industrie des montres haut de gamme, l’image de la marque est nécessaire. Elle joue un rôle majeur dans la perception qu’auront les certaines personnes des différentes marques. Idéalement, elle se rapporte au type de clientèle que l’entreprise souhaite attraper. Dans cette page, nous nous intéressons à l’image renvoyée par certains des plus grands noms du secteur. La culture : l’image que Rolex s’est formée avec soin inclut plusieurs secteurs comme le sport, le septième art, la musique et l’art en général. En plus des multiples célébrités à la sembler, Rolex sponsorise plusieurs pièces et événements qui incarnent les valeurs de la marque. Si vous souhaitez mettre un premier pied dans l’univers des montres haut de gamme, Rolex est le meilleur début. Ce que posséder une Omega dit de vous : vous favorisez que votre montre soit de qualité excellente plutôt qu’elle attire tous les regards. Vous admirez les montres aux histoires fascinantes.
on peut voir près d’un s., Warren Morrison, ingénieur chez Bell Labs, a fait une découverte qui bouleverserait la fabrication industirelle horlogère à peu près un demi-siècle plus tard. Le détail apparemment anodin qu’il a divulguer est qu’un cristal de quartz, lorsqu’il était chargé d’un courant électrique, vibre à une fréquence permettant de mesurer avec rigueur le temps. Cette simple petite révélation allait changer la valeur de l’histoire pour toujours. À l’image de l’avancée de la puce informatique ou de l’électricité elle-même, le petit fragment de cristal vibrant du laboratoire de Morrison est devient une idée a plusieurs milliards de dollars. N’ayant pas pour habitude d’être à la traine, surtout après avoir contribué à l’adoption de la montre-bracelet a ses débuts, Rolex a jugé bon de accroitre une montre utilisant cette déroutante nouvelle technique. Le gouvernement suisse avait déjà financé la conception du calibre Beta-21, auquel Rolex avait contribué, mais le design posait de nombreux problèmes, et Rolex a donc décidé de donner une nouvelle direction à cette idée.
L’Industrie de la montre représente un précieux révélateur du facteur humain dans le développement industriel : c’est bien dans la main-d’œuvre que se situe, pour l’ensemble, la valeur d’une montre. L’ascension et le déclin d’une entreprise d’horlogerie ne peuvent s’expliquer par les seuls facteurs matériels qui participent tellement à le succès en sidérurgie, par exemple. L’explication courante qui alloue la popularité industriel américain à l’étendue du marché intérieur notamment, et, à l’inverse, l’échec d’industries analogues dans des pays aux dimensions plus moyens se révèle, dans le cas de l’industrie horlogère, un peu courte. Cette industrie, en effet, se prête à l’exportation et aucun centre de conception, à l’exception peut-être des États-Unis, n’a pu atteindre ses objectifs sans exporter une grande partie de sa création. Ainsi le principal pays producteur – la Suisse – de l’époque moderne n’a jamais disposé d’un véritable marché intérieur.
Jusque là il existaient des horloges depuis plusieurs siècles et ces horloges fonctionnaient avec comme source d’énergie, des POIDS et comme système régulateur, le FOLIOT, simple barre horizontale placée sur l’axe d’échappement qui pivotait à sa partie inférieure, mais était suspendu à la supérieure. Ces deux éléments, poids et foliot suspendu, entraînaient une exigence, celle de conserver l’horloge dans une etat verticale et c’est là que se trouve la différence, car la montre fonctionne dans toute les positions, mais il fallait justement pour y parvenir changer les deux composants cités. Ce sont ces 2 modifications qui ont caractérisées la montre à ses débuts. L’énergie des poids fut remplacée par un ressort enroulé logé dans une « boîte » le cylindre, qui se vit, par obligation, associé à la fusée afin de transmettre une énergie des plus constante possible, ce qui était le cas des poids. Barillet et fusée étaient reliés par une cordelette en boyau et ensuite par une chaînette ( je place ci-contre ce couple barillet/fusée source d’énergie des montres ).
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